Un mâle qui s'offre

Tu ouvres ton téléphone et là, il apparaît. Le beau gosse, encore une fois. Son selfie n’a rien d’innocent. Son corps totalement nu, la lumière glisse sur sa peau comme une caresse. Rien ne semble caché et pourtant tout est mystère. Ses lèvres entrouvertes semblent prêtes à murmurer quelque chose d’interdit, et son regard, planté dans l’objectif, est une flèche directe dans ton coeur.

Tu fixes l’image, incapable de détourner les yeux. Chaque détail t’aspire : la courbe de ses muscles, la tension dans ses épaules, la nonchalance calculée de sa pose. On dirait qu’il s’adresse directement à toi, qu’il t’invite à franchir la frontière de l’écran.

Ton imagination prend le relais. Tu entends presque le son de sa respiration, tu ressens la chaleur de sa peau comme si elle était à portée de main. Tu devines la fermeté de son torse, la douceur de sa nuque, la vigueur de son sexe, l’électricité qui se dégagerait de sa proximité. Son sourire insolent devient une provocation, une promesse que tu rêves d’arracher.

Le selfie n’est plus une simple photo, c’est une intrusion dans ton esprit, une morsure qui t’habite et ne te lâche plus. Tu fermes les yeux, mais l’image reste imprimée, brûlante, obsédante, comme s’il s’était glissé en toi, dans tes pensées, pour n’en plus jamais sortir.

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Tu connais maintenant le principe, alors avant de partir, n'oublie de laisser un petit commentaire pour partager tes impressions sur cet article et nous livrer les numéros des éphèbes que tu préfères parmi les 10 proposés aujourd'hui.

Pour ma part, je craque pour le 2, le 4 et le 5.

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