Un café très brûlant

La lumière pâle du matin glisse sur leurs torses nus, traçant d’éclats dorés chaque muscle tendu, chaque creux de peau encore tiède du sommeil. Le parfum du café flotte toujours dans l’air, mêlé à l’odeur plus animale de leurs corps échauffés. Leurs regards s’accrochent, lourds de désir. Un pas, un frôlement et les lèvres de Yanis trouvent celles d'Ethan dans un baiser fiévreux, avide. Leurs langues se mêlent, se cherchent, tandis que leurs mains explorent les courbes tendues, les reins cambrés, les fesses fermes. Le café vacille dans leurs tasses abandonnées quand Yanis le bascule doucement sur la table, le souffle court. — « T’es tellement beau, là… » murmure Yanis en traçant ses lèvres sur le torse d’Ethan. Il s’agenouille entre ses cuisses, les mains agrippées à ses hanches, et enfouit son visage contre sa peau. Sa langue glisse lentement sur sa verge tendue, recueille chaque frisson, chaque gémissement rauque. Ethan halète, une main crispée dans ses cheveux, l’autre glissant s...