Une histoire d'hommes



Ses mains glissèrent lentement le long de mes cuisses, écartant mes jambes avec une lenteur calculée, ses yeux sombres fixés aux miens, brûlants de désir. Son torse poilu se frotta contre ma peau nue alors qu’il se penchait pour m’embrasser à nouveau, sa langue envahissant ma bouche avec une faim impatiente. Je sentais son sexe dur, lourd, pulser contre ma hanche, glissant dans les poils épais de son bas-ventre.


Il m’allongea sur le dos, ses lèvres traçant un sillage humide sur mon cou, mon torse, s’attardant sur mes tétons qu’il mordilla doucement avant de les apaiser de sa langue. Sa barbe râpeuse frottait ma peau, me faisant gémir à chaque frôlement. Ses baisers descendirent encore, jusqu’à ce qu’il enfouisse son visage entre mes jambes, sa langue chaude caressant ma verge, la prenant lentement entre ses lèvres. Son souffle chaud et humide enveloppait ma peau, tandis que ses mains agrippaient mes hanches pour m’empêcher de bouger.




Je le sentais me savourer, m’aspirer profondément dans sa bouche, sa gorge vibrante de gémissements étouffés. Ses poils frôlaient l’intérieur de mes cuisses, m’arrachant des frissons incontrôlables. Quand il se redressa, son regard était fiévreux, son torse luisant de sueur, les poils collés à sa peau brûlante.


Il écarta mes jambes et se plaça entre elles, la pointe de son sexe dur venant effleurer mon entrée. D’un geste lent, ferme, il s’enfonça en moi, centimètre après centimètre, m’emplissant d’une chaleur épaisse et palpitante. Un gémissement rauque s’échappa de ses lèvres alors qu’il se retirait presque entièrement pour mieux revenir d’un coup de reins profond. Ses hanches claquaient contre les miennes, ses poils frottaient mon ventre, et son torse s’écrasait contre moi à chaque coup puissant.




Je sentais tout son corps contre le mien, son torse velu glissant sur ma peau moite, ses mains serrant mes cuisses avec force, son souffle court et rauque près de mon oreille. Il accéléra, ses coups plus profonds, plus durs, jusqu’à ce que je perde toute notion du temps, réduit à ce feu brûlant qui battait entre nous.


Nos corps se contractèrent ensemble dans un ultime élan : il se raidit, grogna contre mon cou, et je sentis sa chaleur se répandre en moi au moment même où le plaisir m’arracha un cri. Nous restâmes enlacés, haletants, sa sueur et ses poils collés à ma peau, son cœur cognant violemment contre ma poitrine.




À peine nos corps eurent-ils retrouvé un souffle normal que l’envie revint, brutale et irrésistible. Il se jeta sur moi avec une intensité sauvage, ses mains attrapant mes épaules pour me maintenir sous lui. Son torse poilu écrasait le mien, chaque poil collé à ma peau, chaque frisson provoqué par la friction me faisant gémir sans retenue.


Il plongea sa bouche sur la mienne avec une voracité animale, ses dents mordillant légèrement ma lèvre, ses mains explorant mon dos et mes fesses avec une possessivité brutale. Je me cambrai contre lui, mes doigts agrippant ses hanches velues, le tirant contre moi, mes gémissements se mêlant aux siens dans un rythme effréné.





Sans prévenir, il me retourna, me plaquant sur le ventre, et s’introduisit en moi par derrière. Chaque coup de reins était sauvage, désinhibé, nos corps frappant l’un contre l’autre dans une danse brûlante de désir et de puissance. Son torse poilu frottait ma peau nue, sa sueur chaude et épaisse se mêlant à la mienne, nous enveloppant dans un parfum brûlant de masculinité.


Ses mains glissèrent sur mes épaules et mes cuisses, tirant, pressant, marquant ma peau de leur force, tandis que son bassin s’écrasait contre moi avec une cadence animale. Il haletait, gémissait, ses poils frottant mes hanches à chaque mouvement, me faisant perdre tout contrôle. Moi aussi je me laissai aller totalement, répondant à chaque poussée avec une frénésie égale, nos corps mêlés dans une synchronisation presque instinctive.




Quand la fièvre monta à son paroxysme, il accéléra brutalement, nos corps explosant simultanément dans un chaos de plaisir intense. Nos cris résonnèrent dans la pièce, mélange de passion et de libération, nos corps encore tremblants, collés l’un à l’autre. Ses poils épais contre ma peau, sa respiration haletante et ses gémissements rauques furent la dernière note de cette tempête charnelle.




Nous restâmes enlacés, haletants et brûlants, nos corps poilus collés, savourant cette sauvagerie passionnée, les muscles tremblants. Son torse poilu reposait contre le mien, sa chaleur m’enveloppant comme une couverture brûlante. Mes mains caressaient doucement ses épaules, ses bras, traçant des cercles sur sa peau moite, savourant chaque frisson qu’ils provoquaient.


Il tourna la tête, déposant un baiser tendre sur ma joue, sa barbe frottant doucement ma peau. Ses doigts jouaient dans mes cheveux, les passant avec délicatesse, contrastant avec la brutalité de notre passion précédente. Nous restâmes ainsi, silencieux, laissant parler nos corps dans la douceur de la proximité.




Chaque respiration était partagée, chaque frôlement de poils sur peau un rappel subtil de la virilité et de la chaleur qui nous avaient consumés. Ses bras serrés autour de moi me faisaient sentir à la fois protégé et désiré, et je compris que cette sauvagerie charnelle avait trouvé son équilibre dans cette intimité partagée.


Nos corps s’apaisèrent peu à peu, mais la chaleur, la puissance et la sensualité persistèrent, un souvenir vivant et vibrant de notre union. Et tandis que la sueur et les poils se mêlaient sur nos peaux, un sourire fatigué mais satisfait apparut sur nos lèvres : nous étions encore deux hommes, virils, passionnés, et parfaitement liés dans la tendresse après l’orage.




J'espère que ces quelques lignes et photos vous auront donné chaud. Je vous souhaite un bon et torride week-end. 



A très vite pour de nouveaux plaisirs masculins et n'hésitez pas attendant à commenter cet article 😘


Commentaires

  1. Mmmmm Délicieux à lire... Impossible de retenir mon désir s'affirmer en te lisant . Au fur et à mesure de m lecture l pression montait, j'ai commencé à caresser ma verge qui ne demandait que ça. Puis ma main perfide à commencé à la branler. Tant et si bien qu'à la fin de ma lecture, j'ai joui... Mmmm
    Merci. Et ces hommes sont tous beaux... Un régal !

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    1. Merci pour le commentaire et la semence versée qui m'honore.

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  2. Double plaisir lire et voir 👍👍👍🥰

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  3. La fin du texte était très humide pour moi 😄 merci beaucoup

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  4. Les hommes sexuels et leurs intimités et plaisirs sacrés !
    Monsieur Dutronc 🇫🇷

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  5. Très excitant ma barquette va lâcher 😋

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